marți, 4 ianuarie 2011

Chineza la Bruxelles

Ceva nou sub soare? Se pare că da ...

Totuşi, pentru România nu chiar atât de nou. Oamenii de afaceri, direct interesaţi, demult solicită şi au la dispoziţie prin învăţământul particular cursuri de limbă chineză ( pentru turcă şi arabă nu cunosc cum stau lucrurile) şi nu doar în capitală. Iar profesorii români de chineză se adaptează continuu cu manuale tot mai accesibile în domeniu.

Reportajul de mai jos n- am considerat necesar să- l traduc din franceză. Dacă totuşi cineva nu înţelege textul, voi face şi traducerea. Aş mai adăuga că acest reportaj în forma vizuală îl găsiţi clicând titlul acestei postări.


Les cours de chinois, de turc et d'arabe ont la cote dans les écoles de traduction et d'interprétariat bruxelloises. Les premiers diplômés sont sortis en juin et la relève semble assurée. Pour certains jeunes, le chinois, "c'est la langue du futur".
Depuis quelques années, les cours de chinois ont envahi nos auditoires. Les chiffres des inscriptions en témoignent : ils sont en augmentation constante depuis cinq ans. "Nous avons déjà eu jusqu'à 100 élèves inscrits en première année de baccalauréat", explique Jianping Xu, professeur de chinois à l'ISTI, l'Institut supérieur de traducteurs et interprètes.
Pour Tracy, élève en première Bac, "le chinois, c'est la langue du futur. On en voit partout, même en Afrique. Alors je me suis dit soyons fous". Et pourtant l'apprentissage de cette langue est loin d'être facile; certains élèves rencontrent souvent des problèmes de prononciation. Mais les jeunes l'ont compris : une fois leur diplôme en poche, les opportunités professionnelles ne manqueront pas, particulièrement dans les organisations internationales et le commerce par exemple. Et le directeur de l'ISTI, Christian Balliu d'ajouter que deux de ses étudiants fraîchement diplômés en juin, "ont déjà trouvé un emploi en Chine". Bref, le chinois est la dernière langue à la mode, juste après l'anglais et l'espagnol.
Mais d'autres langues se profilent également comme l'arabe ou le turc, boosté par la candidature de la Turquie à l'Union européenne. Seher Gokge, professeur de turc à l'Institut libre Marie Haps, explique ce succès : "Les Turcs qui sont nés ici, dit-elle, veulent développer leurs connaissances, mais de plus en plus d'étudiants francophones font également ce choix". "Les francophones qui apprennent le truc sont assez bien recherchés", nous dit Aurélia, étudiante en 2ème Bac. De manière générale, les élèves sont très optimistes pour leur emploi futur, à la sortie de leurs études. Au total, ils sont plus de 300 à apprendre le chinois, le turc ou l'arabe dans les trois hautes écoles bruxelloises d'interprétariat. Reste à voir si ce succès résistera à l'épreuve du temps ou si ces langues connaîtront le même sort que le russe, en recul depuis quelques années.

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